Le RGO qui a fêté ses 10 ans en 2016, a depuis dû affronter la « tempête » qu’a provoqué la loi NOTRe, avec le nouveau dessin des Régions qui déplace les centres de pilotage des territoires.
Confrontés aux demandes d’un genre nouveau des collectivités, conscients qu’il fallait s’assurer du périmètre géographique à gérer, les élus ont décidé de s’adjoindre l’aide d’un cabinet extérieur pour clarifier le positionnement du RGO. Outre le changement de nom en RESECO, la réflexion a débouché sur de nouvelles propositions de service aux collectivités adhérentes, ainsi qu’une ouverture au-delà des Régions couvertes par ses statuts que sont la Bretagne, les Pays de la Loire et la région Centre-Val de Loire. D’ailleurs, un certain nombre de demandes de collaboration commencent à affluer, en particulier d’autres réseaux du même type en France, et même de la région Ile de France.
Alors que la restriction budgétaire que connaissent les collectivités joue en la défaveur du réseau, l’actualité au contraire met son activité sur le devant de la scène : annonces en série des efftes du changement climatique, tensins récurrentes sur des filières de matière première, avec une hausse conséquente des prix, fracturation sociale de la société française, avec dernièrement l’émergence d’un mouvement spontané mais dévastateur… Tous ces éléments montrent le bien-fondé du travail de RESECO, et nombre de collectivités s’en rapprochent aujourd’hui.
En 2018, RESECO a passé un partenariat avec la Région Pays de la Loire dans le cadre de son Plan d’Actions Economie Circulaire 2018-2025. Il vise à une co-animation d’évènements, ainsi qu’à l’apport de RESECO en termes de formation et de sensibilisation des élu-es et technicien-nes. Et dernièrement, il a co-animé la journée organisée par le Consei Départemental 44 sur le thème : Commande publique et Changement climatique.
Didier QUERAUD préside ce réseau depuis février 2016. Pour rappel, lisez notre article ici.
> Pour en savoir + : www.reseaugrandouest.fr